Dans ma naïveté première, je croyais que les libertés premières étaient de respirer et de penser librement ; aujourd’hui il me faut en rabattre violemment.
Durant le confinement, décrété pour soit-disant faire face à un virus aux origines douteuses, nous fûmes d’interdiction d’aller respirer l’air pur de nos forêts, de nos campagnes, de nos bords de mer, même munis d’un « auto-ausweis » individuel contenant un engagement sur l’honneur de sacrifier aux « gestes barrières ». Hier on nous a imposé, dans beaucoup de nos villes, la mascarade dégradante de se cacher le bas du visage en tant qu’exception à une loi interdisant « de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés à un service public » ; ladite loi prévoyant d’ailleurs des sanctions pour cette infraction et celles-ci étant d’ailleurs plus lourdes « pour celui qui force une autre personne à masquer son visage ». Et ce pratiquement en tous lieux, sauf à l’intérieur des foyers individuels (mais pour combien de temps encore ?) avec à la rescousse : drones, radars, surveillance et dénonciations humanes, avec à la clé des amendes dressées par une police, elle aussi bien dressée.
Certain(e)s irresponsables politiques avaient même envisagé le port de ce cache orifices de respiration pour les sportifs en plein exercice mais ils (elles) ont du y renoncer (mais pour combien de temps encore ?). Aujourd’hui ce sont les enfants de plus de 11 ans et les adolescents qui doivent sacrifier à ce rite, je les plains vraiment ! Quant aux travailleurs en entreprises ils sont soumis également à ces mêmes contraintes avec quelques dérogations très temporaires et échelonnées pour leur permettre de reprendre leur souffle. Sans pouvoir rentrer dans la polémique de l’efficacité de ces masques et des conditions de mauvaise hygiène qu’ils peuvent engendrer. Rappelons-nous que « le souffle, c’est la vie ». Comme l’écrit une certaine Sophie Bartzcak : seule fonction inconsciente du corps accessible à notre contrôle, la respiration touche à toutes les dimensions de notre être. Antistress par excellence, elle permet aussi un véritable voyage intérieur. L’air que l’on respire et le souffle qui nous anime ont de tout temps interpellé les grandes civilisations. Déjà, le célèbre médecin Hippocrate considérait « l’air comme le plus puissant agent de tout et en tout ». En grec, pneuma désigne à la fois le vent, l’air, le souffle, la respiration mais aussi l’esprit, l’âme, la vie ou le cœur.
Quant à l’affaire Obono contre Valeurs Actuelles « cette polémique illustre en réalité le niveau d’abêtissement et, plus grave encore, de dhimitude intellectuelle du monde politique français. Trémolos dans la voix, la main sur le cœur, Rassemblement national compris, tous les partis politiques ont en effet réagi par réflexe pavlovien et dans l’ignorance » bétonnée de la question. Au pays de Descartes, l’émotionnel semble donc avoir définitivement pris le pas sur la Raison… ».
Nous voilà obligés aujourd’hui de défendre bec et ongles les libertés d’opinion et de la presse face aux réactions tartuffiennes des francs-macs (Macron, Castex, Dupont-Moretti et les autres) qui tentent de les étouffer. Heureusement l’historien Bernard Lugan ose nous rappeler les terribles réalités de l’Histoire selon lesquelles des négriers noirs ont bel et bien vendu leurs frères à des négriers blancs, enrichissant ainsi une partie de l’Afrique au détriment de l’autre. Des évêques africains ont d’ailleurs mis en évidence cet ignoble trafic dans une déclaration commune : « Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne ». Quant à la traite des esclaves blancs en Afrique du nord (appelée à l’époque « Barbarie ») par les Ottomans musulmans, et qui concerna entre 1,3 millions et 2,5 millions de personnes, elle a été savamment occultée par les bonnes âmes de la religion des Droits de l’Homme !
Mais qu’on laisse enfin respirer librement nos corps, nos esprits et nos âmes et « priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! ».
Patrick VERRO
Comments: 26
Tout à fait d’accord avec vous
je tremble , rien que de penser à ce que ce gouvernement va encore “pondre” pour nous enfemer et nous avilir !
Les enfants de Shadoks, çà * pompe ou çà n’existe pas !
• En réalité il manque ici le « nous »…
Pourquoi les Shadoks * pompent-ils ?
Un LOI même votée , peut être remise en question plus trad
Notre époque se caractérise, notamment, par une impressionnante régression intellectuelle.
Le monde d’après ne sied guère à Arielle Dombasle. Contrainte de se déplacer masquée, de se tenir à distance des autres et de devoir régulièrement se désinfecter les mains au gel hydroalcoolique, la star se sent perdue dans cette situation qu’elle ne supporte plus. Rompue à l’art de distribuer les punchlines, elle a tenu à rendre publique sa désapprobation de mesures qu’elle estime contradictoires et invasives : “Les rapports sont devenus insupportables. Tous ces zombies, tous ces gens masqués et muselés, cette crainte qui a envahi la planète, c’est nouveau. Je souffre beaucoup de cette situation, de cette peur qui s’est installée. Et puis cet hygiénisme, avec tous ces gens qui se contredisent…”.
Le packaging et l’inutilités des Masques bleus
Je crois qu’elle n’est pas la seule à le penser et à le dire.
Les masques sont très utiles par contre pour une chose: Ils constituent une protection très efficaces contre les amendes pour non port du masque. Pour le reste, il n’ont effectivement aucune utilité d’ordre sanitaire aujourd’hui en extérieur! La justification est purement politique!
Les masques ont une utilité pour les femmes en terre d’islam, c’est ferme ta G……
Comme en France, portez vos masques puisqu’on vous le dit !
Restez masqués, puisque personne ne semble comprendre.
https://youtu.be/eMcBsptXz2U
Moi aussi j’aime humer la brise marine ou le vent dans les sentes forestières, et j’y respire sans masque et à plein poumons, je n’en porte pas non plus à l’écurie et les postillons équins ne me font pas peur. Mais lorsque je vais en course ou comme la semaine prochaine ou je vais reprendre les cours et l’aumônerie, je porterai un masque, autant par respect pour moi que pour les autres. A 75 ans je veux rester libre et n’être en charge pour personne. Le contact avec la foule ou les élèves présente un danger potentiel et je pratique pas les jeux de hasard, la roulette Russe ne me tente pas…!
Comme je l’ai dit porter un masque n’est pas une preuve de soumission: “il n’empêche ni de retourner une faux, ni de tenir une fourche, ni de charger un fusil…! Il peut même protéger des gaz lacrymogènes.”
Plus tôt la pandémie s’arrêtera, plus tôt le nuage de fumée derrière lequel tentent de se dissimuler les criminels qui nous gouvernes se dissiperont, plus tôt le roi sera mis à nu…!
Une pandémie grippale est une épidémie qui sévit à l’échelle d’une zone géographique très étendue, à l’occasion de l’émergence d’un nouveau virus grippal résultant généralement d’une modification génétique majeure. En 1957-58, la “grippe asiatique” liée au virus A (H2N2) et en 1968-69 avait fait 100 000 morts en France ; la “grippe de Hong-Kong” due au virus A (H3N2) a provoqué elle un million de personnes décédées dans le monde.
Le virus de la grippe A (H1N1) pdm09 est apparu en 2009 au Mexique ; cette pandémie résultait d’une combinaison de différents virus grippaux d’origine aviaire, porcine et humaine. Le virus a diffusé rapidement à l’ensemble du monde dans les mois qui ont suivi son émergence. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a qualifié la situation de pandémique en juin 2009. Ce virus a provoqué en 2009 des formes compliquées chez l’adulte jeune, notamment des pneumonies virales nécessitant une prise en charge lourde en réanimation. Les femmes enceintes et les personnes souffrant d’obésité présentaient un risque accru de faire des formes graves. En revanche, les personnes âgées de 65 ans ou plus avaient connu des souches virales assez proches par le passé et de fait ont été partiellement protégées contre le virus pandémique. L’OMS a déclaré la phase post-pandémique en août 2010. Cette grippe A présente un taux de mortalité de 3 à 13 pour 100 000
Dans le monde, la grippe saisonnière tue chaque année entre 250 000 et 500 000 personnes.
Le coronavirus (SARS-CoV-2) et celui de la grippe donnent un tableau clinique similaire, marqué par des manifestations respiratoires, la vitesse de transmission semble seulement plus élevée…
Les mesures prophylactiques de base devraient être l’évitement des conséquences des toux, éternuements et autre envois de postillons…, la fin des embrassades, l’aération régulière des pièces, le lavage régulier des mains, le nettoyage des objets touchés, comme pour les autres grippes ; le recours aux masques ne devraient être marginal, surtout en extérieur.
Ce qui est intrigant c’est alors que les antalgiques, les antibiotiques et les corticoïdes donnaient de bons résultats dans les cas d’aggravation aujourd’hui ces médicaments ne semblent rien donner par rapport au coronavirus, et l’industrie pharmaceutique n’a de cesse de critiquer « le procédé Raoult » sans vraiment rechercher de solutions ! Comme vient de me le confirmer le professeur qui me suit : à part l’évitement du virus, en matière de traitement de celui-ci il n’existe rien, pas même un espoir ! Vous ne trouvez pas cela curieux et inquiétant ?
posez vous une question technique.
le covid mesure entre 0.14 microns et 0.20 microns.
Les masques chirurgicaux laissent tout passer jusque 6 microns.
Les masques FFP2 laissent passer toutes particule supérieure a 2.5 microns.
expliquez moi ce que vous en pensez?
https://www.ouest-france.fr/sante/masques-de-protection/les-masques-laissent-ils-passer-le-coronavirus-on-vous-repond-6921131
Génial et instructif : « le gouvernement transforme une souris verte en escargot tout chaud mais personne n’y croit »
Nous croyons tous en revanche (enfin presque tous) à la trahison de l’exécutif, gouvernement, plus Président, ainsi que du législatif à l’égard du peuple. Situation similaire par bien des aspects à celle de Vichy! La France est tombée sans intervention d’une armée étrangère!
Je laisse à votre appréciation ce qui suit.
https://m.youtube.com/watch?v=pNoy6H8CQcc
Fantasme ou réalité.
Allons nous nous réveiller, quand, comment ?
Oui il s’agit de soumettre les peuples par la peur et le contrôle technologique des moyens de communication…
INTERVIEW EXCLUSIVE Robert Kennedy Jr
https://www.youtube.com/watch?v=T3x_hxDe6x8
“Le mondes d’Huxley, d’Orwell et de Kafka réunis est arrivé plus vite qu’on ne le pensait…”.
“Le mondes d’Huxley, d’Orwell et de Kafka réunis est arrivé plus vite qu’on ne le pensait…”. Cela semble bien arriver extrêmement vite, en effet!
J’ai tendance à me défier des mondes “meilleurs” à en juger par le passé. Pourvu seulement que notre monde ne devienne pas pire qu’il ne l’est!
Pour réveiller…
Film et campagne de comunication par fonds participatif
https://mobile.ulule.com/hold-up-1/?lang=fr
Merci de partager
Nous sommes également dans la même époque que le régime de Vichy entre 1940 à 1945. Sachant que la France n’a plus de constitution depuis le 1er Janvier 2017, gouvernement élu illégalement, usurpateurs, traîtres et incapables, tombant sur le coup de l’article 433-12 du code pénal, tombant aussi sur l’article 411. Tout ça n’échappera pas à un tribunal populaire, il y’aura bel et bien un procès “Nuremberg bis”. ARTICLE 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 24 Octobre 1793: Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le PEUPLE, et pour chaque portion du peuple, le plus SACRE des DROITS et le plus indispensable des DEVOIRS !.
Vous faites bien de rappeler ces éléments de droit et ces qualificatifs concernant notre actuel exécutif (*).
Existent d’étranges similitudes, en effet, avec la période du régime dit de Vichy, alors que la France était sous occupation d’une armée étrangère! Ce point n’est pas souvent rappelé, et pourtant!
L’historien non-professionnel que je suis s’est toujours demandé quels seraient les traîtres parmi nous si nous devions connaitre une période analogue par beaucoup d’aspects à celle de Vichy. Nous avons maintenant une réponse. Bien qu’il soit difficile de savoir qui s’apprête à suivre les injonctions d’un “pouvoir” hors sol et brutal par sa nature, nous constatons que nombreux sont les fonctionnaires disposant d’une forme d’autorité liée à leur statut qui usent et abusent de cette autorité; agissant par excès de zèle et autoritarisme, à l’encontre de citoyens parfaitement respectables. Les amendes infligées pour non port du masques n’en constituent qu’une illustration parmi d’autres. En ce sens, le parallélisme des comportements est assez frappant (parfois dans les deux sens du mot).
Si j’étais placé dans l’obligation de réagir face à un comportement que je jugerais excessif, je n’hésiterais pas en effet à rappeler l’existence de l’article 432-10 du code pénal (délit de concussion) assorti de peines de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende pour violation des textes légaux ou réglementaires. L’interprétation des textes variant en raison des circonstances elles-même variables, ce qu’il est important de rappeler. Ce qui est advenu avant et après Vichy en terme de légalité et de toutes les implications qui en dépendèrent pourrait advenir avant et après Macron.
Accessoirement, n’oublions pas que la magistrature prêtât serment de manière quasi-unanime au Maréchal Pétain. Ce sont ces mêmes juges, ceux qui préfèrent serment, qui à la Libération condamnèrent à mort le Maréchal.
(*): J’utilise le terme exécutif qui comprends le gouvernement non élu ET le Président de la République, élu.
Notre patrie n’est-elle pas occupée ? N’avons-nous pas un gouvernement de Kollaborateure ( متعاون ) ?
Ce sont bien les questions à se poser! Pour la première question, ma réponse dépendra du sens que l’on donne à “occupée”. Pour la seconde, je réponds oui! Les éléments à charge abondent!
Rien ne justifie le port du masque ! Professeur Jean François Toussaint sur RFI
https://www.youtube.com/watch?v=KusJqgMAil4&feature=youtu.be
Le 31 août 2020, sur Radio France International, le Professeur Jean François Toussaint (directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie) a bien rappelé qu’à ce jour aucune étude scientifique ne vient justifier le port du masque en extérieur. Il rappelle aussi que, malgré les messages alarmistes du gouvernement, il n’y a pour l’heure aucune “deuxième vague”. En effet, depuis le début de l’épidémie le nombre d’hospitalisation n’a jamais été aussi bas.
La chute abyssale du niveau scolaire , l’allègement des programmes scolaires dès le début des années 80 ; au milieu des années 80, certains avaient remarqué que les épreuves du bac professionnel était du niveau du brevet d’enseignement professionnel antérieur à 1980…
Ce que vous dites concernant le niveau scolaire actuel, c’est une vraie catastrophe. Les enfants et les jeunes n’apprennent plus rien à l’école, c’est devenu de vraie garderie. A la sortie de la maternelle, beaucoup ne savent pas écrire leur nom et prénom avant d’entrer en primaire. J’avais entendu dire que la majorité des enfants d’aujourd’hui sont inaptes à entrer en 6ème, vu qu’ils ne savent plus écrire ou lire correctement. Je me rappelles que dans une commune près de Paimpol ( région Bretagne) dans les Côtes du Nord (Côtes d’Armor depuis 1990), on avait encore quelques maîtres et maîtresses “à l’ancienne” qui nous apprenaient déjà à lire, à écrire, y compris son propre nom, avant d’entrer au CP, de nous appliquer pour la tenue des cahiers, vu “qu’ils étaient encore à cheval sur l’écriture” . Il y’avait encore la méthode du travail, de nous apprendre les noms des plantes, des champignons, de nous faire des dictées, de nous apprendre des récitations, 40 ans après, tout ça a disparu, vu que les “enseignants à l’ancienne” ont disparu peu de temps après. J’ai entendu ma mère dire que quelqu’un en classe de 5ème en 2015 ou en 2016, a aujourd’hui un niveau de CM2, par rapport à l’année scolaire de 1986/87 qui était différent, vu que mon époque, c’était encore dur, déjà les programmes ont été changés l’année suivante, vu qu’il y’avait encore “les maths modernes” au programme qui ont été supprimés. Vu le niveau scolaire actuel, il y’a de quoi s ‘inquiéter et de s’alarmer aujourd’hui. J’ai un neveu de 14 ans, on leur effectue plus de dictées, ni de récitations, ni de cours de Sciences physiques dès la classe de 6ème, repoussé à la 4ème, grave à ce point là. Mes parents qui sont de la génération de 1936 et 1938, en classe ils avaient régulièrement des “dictées”, ils faisaient 5 fautes , c’était un zéro pointé, en ramassant un blâme ou une punition par l’enseignant, et on ne recommençait pas et on faisait attention, apprendre à parler correctement, parfois des “coups de règles sur les doigts”, il n’y’avait pas de calculatrice en mathématiques, tout dans la tête passaient le certificat d’études entre la 4ème et la 3ème, ce n’était pas évident de l’avoir, vu qu’il fallait tout “assimiler” dans le cerveau, s’ils voulaient entrer quelque part sur le marché du travail, il fallait avoir ce diplôme , sinon on ne pouvait pas, “c’était la clé d’accès” . Ma mère avait passé un “concours d’entrée en 6ème”en classe de CM2, afin d’ être pouvoir être accepté au cours complémentaires, à condition de le réussir, si ça ne marchait pas, la demande de bourse était annulé. Un jeune de 14/15 ans dans les années 50/60 savait déjà plus de choses qu’un jeune de 25 ans aujourd’hui. Mes parents ont dit que beaucoup de jeunes aujourd’hui ne réussiraient pas à avoir le “Certificat d’Etudes”. Le frère de mon père qui est de la génération de 1948, avait passé un baccalauréat ( je crois que c’était les sciences économiques) entre 1963 et 1967, vu qu’il avait redoublé sa première, passait déjà deux examens finaux à la fin de la Première, l’autre partie en Terminale, c’était vraiment dur, vu qu’il n’y’avait pas beaucoup de jeunes qui pouvaient se permettre de poursuivre leur études scolaires après la 3ème, bien souvent, allaient dans la vie active, à condition d’avoir son certificat d’études, leur parents ou leur frères ou soeurs n’avaient pas les moyens de payer les études, ni parfois l’internat. Quelqu’un qui avait un bac comme mon oncle dans les années 60, c’était déjà une “tête”, vu que ce n’était pas facile de l’avoir, c’était dur. Un baccalauréat dans les années 60, c’est comme quelqu’un qui avait un niveau qui correspond au delà d’un “Master” aujourd’hui. Dans les années après guerre, les instituteurs ou institutrices, professeurs de différentes matières n’étaient “pas des tendres” en classe, vu qu’il fallait travailler, d’obtenir de bons résultats, ne prévenaient pas qu’il y’aurait une interrogation, fallait se tenir “à carreau”, Au temps de mon père ou de ma mère, quand on ramassait une “dérouillée” par l’enseignant ou avec un prof, il valait mieux ne pas se plaindre, ni de se vanter, sachant que l’on allait ramasser “une autre” par les parents en arrivant chez soi, il y’avait du respect à cette époque là, vu que l’on appelait pas son maître, ni sa maîtresse, ni son prof par le prénom, on entrait en rang avant d’entrer dans la salle de classe, on nous disait de rester debout, tant qu’on avait pas dit de s’asseoir.
Covid 19 – cette manipulation des chiffres n’est pas saine :
Méta-analyse : un vrai tour de cartes
https://www.youtube.com/watch?v=arO7ZsXZVO0&feature=emb_logo
David pujadas agacé en voyant les cartes covid
Si cela permet d’éclairer encore d’avantage le sujet :
Vidéo de 25 mn environ.