– par le Général DUBOIS –
Dans la période que nous vivons, tout ce qui est minoritaire, marginal, anecdotique, anormal, devient non seulement acceptable, mais estimable, recommandable, et doit s’imposer à tous. Les mouvements féministes revendiquent hargneusement une égalité que, dans nos pays occidentaux, les femmes ont déjà acquise en grande partie. Parfois même elles sont plus « égales » que les hommes. Que le travail reste à fignoler, soit. Mais l’hystérie revendicative des féministes est injustifiée. Tout est présenté par elles comme une lutte pour se libérer d’une oppression insupportable et injustifiée du mâle.
Si on voulait bien regarder en arrière et remonter aux conditions précaires de la vie dans le passé, on comprendrait que ce sont les contraintes naturelles qui ont déterminé en grande partie un partage implicite des tâches entre les hommes et les femmes. Pendant les millénaires où les humains vivaient à peine mieux que les animaux, ne disposaient d’aucun moyen facilitant leurs tâches, où le muscle et le temps étaient les seuls « outils » de base, les activités féminines étaient imposées par les contraintes de la maternité, de la vie de la famille, pendant que les hommes assuraient la subsistance et la protection. Le rôle de chasseur et de guerrier leur revenait non pas de droit mais de nécessité, parce qu’ils étaient naturellement mieux armés physiquement pour cela, et que, comme chez tous les mammifères supérieurs, la femme était accaparée par le soin de la progéniture. Bien sûr la prédominance du muscle a aussi façonné durablement les esprits et les comportements entre humains. Il faut du temps pour en « guérir ».
Les choses se sont lentement amélioré au fil du temps, depuis les 18ème et 19ème siècles surtout, et c’est à partir de là que les inégalités en droit ont commencé à apparaitre moins acceptables. Notons cependant que l’inégalité n’était pas unilatérale. De tous temps, et jusqu’au 20ème siècle, la guerre était faite par les hommes, et je n’ai pas souvenir que nos anciens de 1914 ou de 1939 aient fait des manifs pour demander que leurs compagnes en prennent les risques à part égale. Ils ont accepté, comme leurs anciens, leur rôle qui était dans la nature des choses. Et ce n’est pas un privilège.
Les suffragettes ont fait des apparitions notées dès le 19ème siècle, mais c’est surtout à partir du premier conflit mondial que les inégalités, non pas naturelles celles-là, mais inscrites dans la loi, ont commencé à paraitre insupportables. Si les femmes n’ont pas été au combat, ce sont elles qui ont alors remplacé les hommes mobilisés, à peu près partout, y compris dans les usines. Pourtant, au pays qui se vante d’avoir été le phare des libertés, il n’y a pas eu de courant assez fort, même après l’épreuve, pour leur accorder le simple droit de vote. Il faut dire que la république naissante qui, 140 ans plus tôt, avait établi le suffrage universel en excluait les femmes ; les militaires aussi d’ailleurs. Et quels étaient les plus acharnés opposants au vote des femmes ? Les socialistes ; qui craignaient que dans un pays encore très christianisé elles suivent les conseils de vote du curé.
Cette étape enfin franchie, très tardivement, c’est pas à pas il est vrai que les textes ont établi l’égalité des droits entre les hommes et les femmes, dans la vie publique et dans la famille : autorité sur les enfants, divorce, gestion des biens personnels, droit au travail sans accord du mari etc. Comparée à la situation de leurs grands-mères, le confort et les outils de la société de consommation leur permettent de s’émanciper en partie des tâches quotidiennes, et laissent à beaucoup la possibilité de tenir un emploi extérieur. Ce qui entraine une liberté supplémentaire, celle que procure la disposition d’un salaire. La sujétion à un compagnon en raison de la simple dépendance matérielle a disparu ou au moins s’est atténuée pour beaucoup d’entre elles. Notons aussi que bon nombre de professions, dont elles étaient exclues en raison bien souvent des contraintes physiques induites, leur sont désormais ouvertes. La mécanisation a rendu la force physique moins nécessaire, et aussi, surtout peut-être, leur esprit, libéré en partie des obsessions du quotidien, elles ont pu avoir d’autres ambitions, professionnelles en particulier. Elles se sont vu reconnaître un droit à l’IVG, disposition discutable alors même qu’existent des moyens de contraception faciles ; droit sacralisé d’ailleurs au point que la justice peut poursuivre toute personne convaincue d’avoir cherché à dissuader une femme d’y recourir.
Où en est-on aujourd’hui ? Qu’y a-t-il encore à revendiquer quand on est une femme ?
Sans doute l’égalité des salaires à emploi, ancienneté et service rendu équivalent ; et encore, pas dans la fonction publique où l’égalité à cet égard est respectée.
Restent c’est vrai, mais ce n’est pas une question de droit, les accusations récurrentes de harcèlement sexuel, voire de viols dont la presse sait surtout rendre compte quand il s’agit d’hommes en vue, alors que tant de viols authentiquement criminels sont commis chaque jour par des anonymes.
Certains hommes sont naturellement plus des prédateurs que les femmes pour des raisons évidentes qu’il n’est pas besoin de développer. C’est sans doute là que, l’évolution des mentalités tardant à effacer l’indulgence masculine ancestrale pour ces comportements, la justice doit agir avec sévérité quand la preuve de leur occurrence est apportée. Mais en dehors des agressions que leur aspect criminel indéniable rend finalement simples, il y aura toujours celles où la victime est sous influence, où les actes ont été commis dans des circonstances plus « mondaines » qui laissent planer un doute quant à la motivation de la plainte. La femme qui a attendu des années pour porter plainte, parfois au-delà de la prescription, peut facilement être suspectée d’agir finalement parce qu’elle estime le service rendu par le « coupable » peu en rapport avec le sacrifice consenti par la « victime ». La justice sera toujours plus efficace et moins discutable si les plaintes ne laissent pas aux faits le temps de rancir pendant des années. Des efforts dans ce sens sont aussi à faire du côté féminin.
A ce moment de cette réflexion je me permets d’appeler l’attention des féministes sur un oubli de taille dans leur stratégie d’action. Comment peuvent-elles ne pas s’élever contre le sort fait aux femmes dans la société musulmane, société qui s’étale de plus en plus dans nos nombreux quartiers perdus de la république? Serait-ce parce que c’est moins rentable politiquement et que cela chagrinerait toute l’obédience gauchiste pro immigration ?
A part ça, plus grand-chose à mon avis, masculin bien sûr. Le fait qu’on en arrive à autoriser les femmes à faire des enfants sans les hommes « sur simple demande » via la PMA, montre assez que les limites raisonnables sont proches ; et même dépassées dans ce cas.
On peut même noter des dérives inverses. La parité imposée dans les fonctions électives est à mon avis abusive. Elle aboutit souvent à incorporer dans le système, presque de force, des personnes sans appétence ou compétence particulière pour la fonction. Il fallait admettre que les pesanteurs du passé n’avaient pas préparé naturellement les femmes à envisager certaines fonctions. Selon une expression à la mode, il fallait laisser du temps au temps. Et si on tient cette parité pour si importante, comment se fait-il qu’on assiste sans réagir à la féminisation galopante de certaines professions ? Enseignement, magistrature, médecine, d’autres peut-être. La loi parfois, ou son application, souvent, peut basculer dans le favoritisme. Combien de jugements déséquilibrés en faveur des mères lors des divorces ?
En dehors de ces points, laissons faire les choses naturellement, sans les forcer, en admettant que le sexe peut prédisposer davantage à telle ou telle fonction, selon les individus, en veillant à l’égalité des droits certes, mais sans discrimination positive pour qui que ce soit. Pensons quand même que cette évolution considérable de la société entraine nécessairement une transformation de la famille qu’il convient de surveiller, sauvegarder, aider, car elle est la cellule de base de toute construction humaine durable, quelle que soit l’époque.
De toute façon il restera toujours une différence entre les hommes et les femmes; et vive la différence !
Général (2s) Roland DUBOIS
VPF Ile de France
Comments: 23
Point de vue rationnel et équilibré que j’approuve entièrement et auxquel j’ajoute ces commentaires-réponses à Michel SALANON :
L’excellent film « Papicha » nous montre bien comment les femmes musulmanes, particulièrement algériennes, sont emmurées vivantes de corps et d’esprit lorsqu’elles veulent s’émanciper et c’est cela que les Français et les Françaises ont laissé s’importer, s’incruster et se développer en France, sans moufeter ; j’ai très souvent soutenu ces jeunes musulmanes qui cherchent à sortir de ce carcan sordide qui tourne parfois à la chasse aux sorcières ; et je dois dire que j’ai été bien seul pour soutenir ce combat ! Honte à mes compatriotes qui se sont laissé mithridatisés par on sait trop quel mauvais vent qui va ds cathos de gauche jusqu’à l’ultra-gauche en passant par les faux-écolos bobos… Quant à nos féministes françaises américanisées, qui la ferment particulièrement sur le sujet, je n’ai pas de mots assez durs pour les fustiger !
(Pour ce faire) : il faudra d’abord changer les mentalités, et ce sera l’objet d’un long et douloureux combat culturel ! Que fera le général Martinez face aux hordes de gauchos-écolos-bobos-fachos-féminos-collabos qui ne manqueront pas de débouler dans les rues ?
Personnellement j’attends un acte fort symbolique comme la demande de nomination au grade de la légion d’Honneur de Zineb El Rhazoui pour son courage à dénoncer le totalitarisme d’un islam plus soucieux de conquête politique que de religion et d’enfermement de la femme dans des principes archaïques de plus d’un millénaire avec mise au point d’une législation et de moyens légaux (justice-police) de soutien adaptés à la réussite de l’émancipation de ces femmes musulmanes qui veulent échapper au carcan moyenâgeux qui leur est imposé !
Pour être juste, il faudrait également exiger l’égalité d’accès aux postes de responsabilité hommes-femmes dans l’Eglise catholique…
DE LA NECESSAIRE INEGALITE ET DU BON USAGE DES DIFFERENCES POUR LA SURVIE
La mort d’un univers serait la conséquence d’un univers figé, c’est-à-dire qui s’est arrêté.
Seul, le mouvement perpétuel assure la vie de l’univers, donc la vie dans l’univers.
La vie est donc éternelle.
Le perpétuel mouvement est donc le résultat de transformations permanentes, d’interactions de forces.
L’égalité est une situation résultant d’un équilibre entre deux forces opposées.
L’opposition de forces est une résistance variable, une lutte, donc un combat voué à l’échec.
La réussite ne peux donc venir que de l’inégalité.
La réussite ne sera ni celle du plus fort, ni celle du plus faible.
La réussite viendra de la complémentarité des différences.
La satisfaction de notre besoin de différence implique le bon usage de nos complémentarités.
Seules les espèces complémentaires peuvent survivre ensemble.
Or… être complémentaire implique d’être différent.
Notre survie passe donc par l’acceptation et le respect de nos différences.
Le respect de l’autre signifie que l’on fera en sorte que notre liberté s’arrête là où commence celle de l’autre.
Il faudra donc faire attention à l’autre, c’est-à-dire s’intéresser à lui pour faire en sorte de ne pas le déranger.
Nous nous abstiendrons de toute action dérangeante pour ne pas nous exposer à la contre-attaque de sa défense bien légitime. Et, si nous supposons que nous risquons de le déranger, nous devrons le prévenir de nos intentions afin d’obtenir son accord.
Pour prévenir, nous disposons de nombreux moyens, notamment regard, parole, geste, dessin, écriture. Ou moyens techniques : clignotant de voiture, par ex.
L’usage du clignotant de voiture est une image représentative de notre comportement social.
Mettre son clignotant, c’est prévenir. Prévenir, c’est s’intéresser aux autres, faire attention à eux. Pouah ! Faire attention aux autres ? Mais c’est aux autres à faire attention à moi !
Nous assistons ainsi à une évolution de notre société vers l’égocentrisme. Sa composante principale est le repli sur soi et l’orientation vers l’appartenance à tout prix à telle structure dont les valeurs sembleraient se rapprocher des nôtres.
D’où l’émergence d’associations diverses, de sectes, et autres extrémismes religieux. Qui se singularisent de plus en plus jusqu’à s’opposer… voire à se détruire les uns les autres.
Mais, dans l’univers, les excès sont toujours contrés par d’autres excès. Ils s’annulent ainsi jusqu’à ce que l’un d’entre eux disparaisse, lentement épuisé, ou brutalement. Dans ce dernier cas, les forces excessives qui restent provoquent un tel déséquilibre qu’elles s’autodétruisent à leur tour. Ce n’est qu’une question de temps.
Il en va ainsi dans l’évolution de l’univers, de notre planète, et de toute vie sur terre. Il en va ainsi de l’humanité dans son Histoire, et donc des idées.
Arrêtons donc de cultiver pour notre seul intérêt personnel et immédiat la soi-disant domination que nous aurons momentanément sur l’autre par l’exploitation abusive de nos différences et en cantonnant l’autre dans la médiocrité. Nous ne ferions que démontrer notre propre médiocrité en travaillant ainsi à notre propre autodestruction.
Intéressons nous aux autres, partageons, éduquons (le comportement), enseignons (les connaissances), apprenons (les habiletés). Plutôt qu’à son passé (CV), intéressons nous donc au présent, et surtout au futur de l’autre avec nous, ensemble. Ne nous arrêtons plus sur ses points faibles, mais retenons surtout son professionnalisme, son expérience, ses compétences, et même ses capacités. Facilitons lui la réalisation de son projet, de notre projet.
Pour pouvoir d’autant plus facilement l’exiger et l’obtenir des autres, visons notre propre excellence, toute notre vie.
Puisque pour survivre, l’égalité est impossible, retenons plutôt la notion d’équilibre harmonieux (donc la vie et le bonheur) obtenu par un bon usage des complémentarités de nos différences.
« Au-dessus des nuages, il fait toujours beau » !
La France bimillénaire, fleuron de la civilisation européenne, est malade de sa “ripou” (*) ou République (c’est selon), aux valeurs prométhéennes déicides, devenues sataniques ! Cette devanture bicentenaire, défraîchie, à force d’être lessivée, construite sur une dialectique matérialiste, est entrain de s’effondrer, minée par ses vermoulures.
Au regard de nombreux indices, avertissements et constats, force est d’observer que le collapsus s’annonce pour bientôt.
(*) oligarchie ploutocratique du type grand banditisme international.
Qui est prêt concrètement à répondre à cet appel ? :
Engager la Croisade sur notre sol, un devoir
Publié le 20 juillet 2020 – par Jean d’Acre
https://ripostelaique.com/engager-la-croisade-sur-notre-sol-un-devoir.html
L’histoire contemporaine nous rappelle qu’il suffit d’une étincelle pour enflammer un continent voire le monde, confer : l’attentat de Sarajevo ; le Couloir de Dantzig ; Pearl-Harbor. Face à ces chocs tectoniques “les hordes de gauchos-écolos-bobos-fachos-féminos-collabos” que vous décrivez cher Patrick Verro, très vite se terreraient pour mieux se métamorphoser au gré des circonstances.
En relisant “Le Grand échiquier” de Zbigniew Brzezinski, la zone ethnolinguistique turque, véritable faille de San Andreas en sismicité géopolitique, pourrait bien être la prochaine étincelle? Cette zone couvre d’Ouest en Est : la Turquie, l’Arménie, l’Azerbaidjan, le Turkménistan, Ouzbékistan, le Kirghizistan, le sud du Kazakhstan. On comprend qu’Erdogan se sent pousser des ailes.
Le Caucase redevenant en ébullition semble être les premiers tremblements alarmant observés sur l’échelle de Richter. Tout laisse à penser que l’islam prépositionné en Europe et plus particulièrement en France, y est très attentif.
Pour répondre à votre question “qui est prêt concrètement à répondre à cet appel ?” Disons que nous allons attendre sans rien faire, simplement jusqu’à ce que le monde s’enflamme. Pour mémoire, rappelons que l’Algérie est entrain de se surarmer en matériels russes.
Nos féministes et autres femen vont pouvoir d’ici là, aller se ré-habiller et déjà commencer à s’entraîner à la guerre !
Si j’ai bien compris votre premier paragraphe, je ne peux pas en dire autant pour les deux suivants… Pourriez-vous avoir l’extrême amabilité d’être un peu plus explicite ? En effet personnellement je crains plutôt l’advenu de guerres civiles !
Pour les hyper-féministes , les gauchistes, les “décoloniaux” , “racisés” , “indigénistes diversitaires”, l’ennemi, c’est l’ Homme Blanc
chargé de tous les maux , esclavagiste, colonialiste , impérialiste, raciste, fasciste voire nazi ,machiste etc …
https://lalettrepatriote.com/lhomme-blanc-est-lennemi-commun-il-faut-sen-debarrasser-explique-un-militant-intersectionnel-a-londres/?utm_medium=push
Puisque leur but est la casse des états-nations ,des institutions qui les structurent dont la famille , en vue d’instaurer un gouvernement mondial au service de l’hyperclasse mondialiste cosmopolite .
Ces mêmes féministes ne se préoccupent pas des femmes des pays du Tiers-Monde notamment des pays africains ou arabo-musulmans et de la condition ( mariage forcé, mutilations sexuelles, infériorité civile etc) qui leur est faite par l’ homme africain ou arabo-musulman, passent sous silence ou nient les agressions , viols , violences , exactions commis par ces derniers ici en France sur des Françaises.
“Ces mêmes féministes” auxquelles vous faites allusion sont à vomir ; dans tous les cas de figure elles ne méritent au mieux que le mépris…
L’historien Benjamin Stora, qui coprésidera la commission chargée d’effectuer un «travail mémoriel», comme annoncé par le président Tebboune lors de l’entretien qu’il a accordé au journal français L’Opinion, avait appelé le président français, Emmanuel Macron, à «aller vers plus de vérité» dans la reconnaissance des crimes commis par la France coloniale en Algérie. Cette alliance de la carpe et du lapin va certainement nous produire une version lumineusement objective de ces événements ! A n’en point douter…
Pour le reste il faut lire :
Un rapport alarmant pointe la propagation de l’islam politique en France
EXCLUSIF – Dans ce document du Sénat que Le Figaro s’est procuré, 44 propositions sont faites pour lutter contre cette radicalisation.
«On pose un sujet de société: toute la France, sauf l’Ouest, est touchée par un islam radical», prévient la rapporteur, la sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio (Val-d’Oise). «Aujourd’hui, en France, on assigne à résidence des gens au nom d’une norme religieuse. On ne peut pas l’accepter. C’est maintenant ou jamais qu’il faut réagir», met-elle en garde.
https://www.atlantico.fr/decryptage/3591020/jacqueline-eustache-brinio–la-france-face-a-une-pression-de-l-islam-politique-
Bernard Rougier: «Les idéologues islamistes font en France ce qu’ils ont fait au Maghreb il y a 30 ans»
https://www.association-iceo.fr/wp-content/uploads/2020/02/Bernard-ROUGIER-%C2%ABLes-ide%CC%81ologues-islamistes-font-en-France-ce-qu%E2%80%99ils-ont-fait-au-Maghreb-il-y-a-30-ans%C2%BB.pdf
Comment lutter contre ces écosystèmes? Et quelles seraient les conséquences d’un échec? La riposte passe par une répression des propos antirépublicains, le développement de nouvelles formes de sociabilités, l’encouragement de discours pour «ringardiser» les islamistes. Mais l’État est parfois déconnecté des quartiers. Il faut renforcer le renseignement territorial, donner à l’université les moyens de travailler. Ce que risque fort d’empêcher l’islamo-gauchisme universitaire très puissant qui condamne des travaux comme le nôtre. Si ces écosystèmes islamistes perdurent, ils vont progressivement parler au nom de nos compatriotes musulmans, demander des dérogations en matière d’application du statut personnel. En cas de réaction ou de victoire électorale de l’extrême droite, nous serons dans un scénario de guerre civile.
C’est le christianisme qui a libéré la femme et lui a donné sa dignité.
Notre société déchristianisée lui fait perdre sa vraie liberté et sa dignité.
Combien de femmes ont eu à subir des paroles et des gestes dégradants?
Qui se doit de prendre la pilule au risque de sa santé?
Qui se doit d’avorter au risque de sa santé physique et psychique?
Qui se retrouve seule à élever ses enfants?
Qui est traitée comme un objet de plaisir?
Qui subit des pressions de toutes sortes d’hommes qui veulent donner libre cours à leurs pulsions?
Les femmes dont le corps dénudé est dans beaucoup de publicités ne sont-elles pas réduites à l’état d’objet?
La femme en Islam a une condition inférieure, oui. Mais chez nous?
La France redeviendra la France si elle redevient chrétienne
La femme y retrouvera sa vraie place, sa dignité et le respect de tous.
Cette place est pour la plupart des femmes au sein du foyer, à veiller sur leur mari et leurs enfants.
C’est là qu’elles s’épanouissent et sont heureuses.
C’est là qu’elles sont le plus utiles à la société: santé meilleure pour tous, beaucoup moins de délinquance, de divorce,,de chômage, de drames et de problèmes en tout genre.
De ces femmes nous en connaissons des dizaines, mais elles sont trop peu nombreuses.
Il est vrai que notre société veut la mort de la famille, pourtant sa cellule de base.
Complément :
Lachaud insoumis et soumis en même temps, pour ne pas dire autre chose…
On connaît donc le nom des assassins d’Axelle, aide-soignante de 23 ans traînée sur 800 mètres par une voiture conduite par Youcef, avec Mohamed à côté de lui. Philippe, chauffeur de bus, Mélanie, gendarme, et Thomas, qui venait de trouver son premier travail, ont également été tués sauvagement par la même engeance, des racailles arabo-musulmanes. Mais des salauds comme le député Insoumis Lachaud ose interdire à ce qu’il appelle la fachosphère de dénoncer cela, noyant sa lâcheté dans des propos qui se veulent de gauche, alors qu’il abandonne les classes populaires de toutes les générations à la violence quotidienne des nouveaux venus. Lachaud, comme l’ensemble des immigrationnistes, a sur les mains le sang de toutes les victimes des 1 000 agressions gratuites par jour qui se déroulent en France, soit une toutes les 44 secondes !
(Source : https://ripostelaique.com/lachaud-et-les-insoumis-laissent-les-racailles-tuer-les-travailleurs.html)
Mais quand va-t-on pouvoir enfin pouvoir cesser de dénoncer toutes ces engeances de malheur à la Lachaud ?
Une femme de Suède pas politiquement correcte :
Le lavage de cerveau dénoncé :
Une Australienne pas politiquement correcte :
C’est le moment de créer un mouvement de défense de l’hétéroselualité d’une part, et concevoir une législation de protection des femmes d’autre part, quelles soient mère au foyer ou pas, ce qui ignieifie uen répession plus sévère des crimes sexuels.
Réfendum sur la peine de mort pour les crimes de sang et les crimes de sang comis sur enfant.
Introduire dans la constitution l’article suivant :
Toute violence physique et morale sur les femmes et les enfants de quelque manière que ce soit est punie par la loi.
Pour ceux qui lisent l’anglais:
https://www.thedarlingacademy.com/
Ce qui me semble grave dans ce féminisme hystérique, c’est la transmission facultative du nom en ligne féminine pour effacer le nom du père, et donc abolir la famille. La transmission monarchique par les femmes dans les royaumes européens va dans ce sens. L’homme blanc hétérosexuel doit pouvoir revendiquer une certaine forme de patriarcat.
Une élue khmère vert exprime sa haine des hommes; elle est par ailleurs enseignante à l’ Institut Catholique de Paris auquel je ne ferai donc plus de dons .
https://www.fdesouche.com/1405421-alice-coffin-elue-eelv-ne-pas-avoir-un-mari-ca-mexpose-a-ne-pas-etre-violee-ne-pas-etre-tuee-ne-pas-etre-tabassee
Sans doute fait-elle partie de ces mêmes féministes qui agitent des banderoles ” welcome refugees” voire disent ” Je me préoccupe de la misère sexuelle des migrants , du confort sexuel des migrants” ( sic) !
Une femme française :
“Pourquoi, je ne suis pas féministe” :
Avec la PMA pour les lesbiennes, c’est la reproduction de confort pour des femmes inaptes à la maternité légitime. Va-t-on supporter longtemps ces dérèglement monstrueux ? Le mariage des pédés est déjà tristement risible, alors là c’est tout simplement répugnant. Donner des droits aux invertis est en soi une aberration, qui en dit long sur la société décadente et pourrie dans laquelle on vit. Ces gens-là devraient pratiquer leur vice dans la clandetinité, et retourner dans les pissotières.
Le silence des féministes face aux violences sexuelles commises sur des femmes parfois leurs amies , amantes , conjointes, épouses par la “diversitude”:
– En Suède
https://www.svt.se/nyheter/lokalt/vast/wilmas-ex-pojkvan-doms-till-xxx
mais aussi le silence d’une victime violée sur la voie publique:
En mai 2007, la femme écrivain , auteur de romans policiers, Maj Sjöwall écrivit dans le magazine “Lire” de Bernard Pivot avoir été violée, au milieu des années 70 un soir , dans le parc Kungsträd de Stockholm alors qu’elle rentrait chez elle et ne pas avoir déposé plainte pour ne pas faire le jeu des racistes .
– En Angleterre
https://www.bfmtv.com/international/le-rappeur-britannique-solo-45-condamne-a-24-ans-de-prison-pour-viols-et-sequestration_AN-202007300209.html
– En France
Une députée féministe de l’extrême-gauche mondialiste cosmopolite , petite-fille de député et nièce d’un secrétaire d’état reconnut avoir été violée en 2006 et ne pas avoir déposé plainte pour “ne pas faire le jeu de l’extrême-droite”.Elle n ‘a rien dit non plus sur le taharrush gamea de Cologne et de bien d’autres villes d’Allemagne.
Et en Allemagne :
https://www.ndf.fr/nos-breves/23-08-2020/allemagne-parmi-les-personnes-accusees-de-viol-la-nationalite-allemande-nentre-pas-dans-le-top-25-des-nationalites/