Le cosmopolitisme est la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité. L’homme cosmopolite est citoyen du monde, se comporte comme un membre de la communauté mondiale, et non comme un citoyen d’un État. Le cosmopolitisme a pour fonction d’éradiquer la patrie, comme le communisme à ses débuts l’a rêvé. La patrie comprend plusieurs critères identitaires: le sol, la langue et la culture, la souveraineté, la religion.
La lutte contre le sol, c’est la suppression des frontières, donc la liberté de migrer sans limites, et sans égards pour les habitants déjà présents sur le territoire. L’immigration illimitée n’a rien à voir avec le libre-échange des marchandises, car les marchandises ne se déplacent pas elles-mêmes, à la différence des hommes. Les marchandises se déplacent à la suite d’un contrat où l’envoyeur et le receveur sont d’accord. Dans l’immigration, on ignore le point de vue de celui qui reçoit, sauf si on fait appel à l’opinion de la population par référendum.
La lutte contre la langue et la culture est un aspect important du cosmopolitisme. Une langue globale devient la langue des élites, économique et scientifique: le globish qui est de l’anglais basique. C’est le jargon utilisé par les locuteurs de diverses autres langues quand ils veulent communiquer en anglais. Cette version simplifiée de l’anglais n’utilise que les mots et expressions les plus communs de cette langue. Cette version appauvrie de l’anglais s’emploie de plus en plus comme outil d’inter-compréhension dans la communication internationale de base, du fait des besoins d’échanges nés de la mondialisation. La culture est laminée par l’égalitarisme dans l’éducation. La culture générale qui permet à l’individu de se situer dans l’espace et dans le temps est marginalisée: l’histoire, la géographie, la philosophie, la littérature, sont réduites à une peau de chagrin. L’individu considéré comme une matière première du système technico-économique ne doit pas avoir de personnalité culturelle enracinée dans l’histoire. Cela limiterait son interchangeabilité. Cela lui donnerait une capacité de résister au pouvoir. C’est inadmissible car les plus grands résistants au totalitarisme comme à l’invasion étrangère furent des hommes de haute culture, souvent militaire et chrétienne, par exemple, l’amiral Alexandre Koltchak, officier de marine russe face aux bolcheviks, (1874-1920), le général Claus von Stauffenberg, en Allemagne, conjuré allemand contre le nazisme, (1907-1944), l’amiral Thierry d’Argenlieu, résistant français à l’occupation allemande, (1899-1964).
La lutte contre la souveraineté politique convient aux oligarchies transnationales. Elles veulent remplacer la démocratie que l’on vide de son sens au profit d’une gouvernance bureaucratique et technocratique. La démocratie repose sur une démagogie, sur une déformation des esprits qui permet de faire voter le peuple comme il faut qu’il vote. L’utopie démocratique a entraîné la dictature collectiviste, c’est à dire socialiste, la dictature fasciste, et aussi une dictature plus sournoise, une dictature mentale. La démocratie dévie nécessairement en démagogie ou en dictature. Tout au long du XXè Siècle, les nations démocratiques ont connu ces dérives. Et l’Etat mondial en préparation ne peut être qu’une dictature, une forme de pouvoir totalitaire. Avec Mai 68, on appelle à une dictature globale qui réunirait les deux formes démocratiques, la démocratie socialiste et la démocratie libérale. Cette dictature doit d’abord être mentale, puis politique, et toute l’humanité doit y être soumise.
La lutte contre la religion catholique fait aussi partie du combat cosmopolite. Le catholicisme est un ennemi pour plusieurs raisons. Des raisons religieuses, le culte cosmique contre un Dieu Créateur du Cosmos. Des raisons métaphysiques, le monisme de l’Etre, Dieu et le Cosmos réunis dans un grand Tout, contre le dualisme de l’Etre, Dieu et le Cosmos nettement séparés. Des raisons politiques, le pouvoir. Des raisons financières, l’Argent. Des raisons morales, le Mal contre le Bien. Le Christ met fin à la magie, à la sorcellerie, c’est à dire au satanisme, au sacrificiel, au culte du veau d’or, au mythe de l’Androgyne. Le catholicisme représente un obstacle pour les initiés des autres religions, et particulier pour les Francs-Maçons.
D’autre part, le cosmopolitisme a un principe originel, la négation des identités. Depuis plusieurs décennies, de manière lente et insidieuse, notre identité est attaquée de toutes parts et sous toutes ses formes. Pourtant, la quête de l’identité fait partie des préoccupations humaines les plus importantes et les plus anciennes. La question de la place de l’homme dans la société, la question de la place de l’homme dans l’Univers, se retrouvent dès l’origine de la pensée humaine, religieuse ou politique. Les rites, les règles sociales ou morales décrites dans différents récits ont servi de socle à l’édification d’une identité à la fois collective et individuelle, par exemple, dans l’Iliade, dans l’Odyssée, dans la Bible….Cette quête identitaire, issue du labeur des siècles passés, fut le moteur des civilisations. Les réponses à ces questionnements naturels de l’homme sont à l’origine de la littérature, de la poésie, de l’architecture, de l’art culinaire, de la musique, de l’art de vivre, de la religion, des systèmes politiques, de tout ce qui constitue la richesse et la diversité des nations. La nation démocratique est composée de citoyens qui ont le droit de vote, ce qui présuppose une identité nationale sur le plan administratif. Chaque citoyen voit cette identité nationale reconnue dans la carte nationale d’identité ou dans le passeport. La carte d’identité a des composantes, la République française qui émet cette carte, le nom de famille qui témoigne d’une filiation, d’une lignée, la nationalité française, donnée juridique, source de droits et de devoirs, les caractéristiques physiques, le visage, le sexe, la taille, la couleur des yeux, la date de naissance, c’est à dire l’humanité même de la personne. L’âme de l’homme est exclue de ce modèle administratif, on ignore la religion, la langue, les connaissances d’histoire. Mais cette carte est encore « trop identitaire » pour les extrémistes du cosmopolitisme.
L’identité de l’homme a une dimension physique, et aussi mentale, juridique et sociale. L’homme n’est homme que parce qu’il vit au sein d’un monde existentiel, ce qui n’est pas le cas de l’animal, prisonnier de son monde restreint. Priver l’homme de son monde est donc le mutiler gravement. L’identité d’un homme ne peut ignorer son environnement culturel et social. Ainsi, un paysan français n’a pas le même monde qu’un marchand chinois ou qu’un imam islamiste. D’un point de vue philosophique, les coordonnées de l’identité sont données par quatre éléments, la terre ou la patrie, le ciel ou les valeurs, les mortels ou les hommes, la divinité ou les Dieux. Selon ces coordonnées, l’identité française est définie par la terre, la patrie et la lignée, par une histoire de France, de son droit et de sa morale, par une langue et une culture, par une religion historique. La marche de la 2è DB, qui combattit l’occupant allemand pendant la deuxième guerre mondiale, est une chanson identitaire type. Le seul amour de la patrie justifie le combat intensif. Cette chanson militaire incarne un monde au sens le plus humain qui soit. Les hommes sont engagés dans un monde, ils ont une mission, libérer la France, et pour cela combattre au mépris de leur vie. L’homme pleinement homme s’enracine dans ces quatre éléments. Il voit la terre comme le lieu de combat de l’existence. Il voit le temps, non seulement comme ce qui se passe, mais comme ce qui arrive, donc comme une ressource, ce qui conduit à évaluer l’héritage et les traditions de façon différente. Il assume la triple finitude qui caractérise l’homme, finitude de la naissance, finitude de la mort, finitude due à nos pouvoirs limités. L’homme pleinement homme est ouvert à la sensation du Sacré au sein de laquelle, seul, le mot Dieu peut avoir un sens. Il déploie son identité comme identité mémorielle, sociale, nationale et existentielle.
Jean SAUNIER
VPF Franche Comté
Comments: 21
Excellente analyse avec une plume de talent ! Luttons contre ces 3 luttes énoncées et combattons férocement ceux qui luttent pour notre anéantissement, notre extinction.
Chère Joséphine … mon armure , mon bouclier et mon épée sont a votre service pour cette noble cause …..
Ô Vaillant Chevalier, seriez-vous le nouveau Charles Martel ?
Je n’en doute pas un seul instant, Noble et Preux Chevalier. Votre bien dévouée
Ce qui hante la modernité proclamée du projet cosmopolite et suscite le refus désormais de tant d’entre nous est la détricotage de l’Histoire et des traditions. Histoire et traditions assuraient la pérennité du lien social, de l’étage familial à l’étage étatique. Depuis des décennies sont venus recouvrir peu à peu ce patient édifice des siècles l’ Etat de droit “paroxysmique”, la société de consommation et la machine médiatico-numérique. Force est de constater que le résultat de tout cela plonge femmes et hommes de nos sociétés complexes dans un désarroi grandissant. Prenons le seul cas de l ‘Etat de droit : Fort naturellement, il ne devrait pas être un facteur de pourrissement, il est l’antithèse du cosmopolitisme, le protecteur par essence de la Nation . Mais regardons le notre dans les yeux : L’accumulation exponantielle des règlements,des normes, des lois, des organes de contrôle de la puissance publique (conseil constitutionnel, conseil d’Etat, défenseur des droits, médiateur de la République, etc.) et la soumission à des normes supra- gouvernementales toujours plus inquisitrices finissent par vider l’ Etat de sa souveraineté et anéantir sa capacité d’action. Il n’y a plus que des déclarations d’intention, parfois martiales, le plus souvent consensuelles. Dès lors, les déclinaisons sur le terrain, dans les administrations, n’ont pour résultat que des rendements décroissants. Les crises qui touchent notre pays actuellement en sont bien la démonstration. Le cosmopolitisme a semé là un terreau idéal pour justifier ses objectifs et prospérer sans freins. Pour vaincre cette hydre, “il nous faudrait de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace et la France serait sauvée”…Nos dirigeants ont-ils foi encore dans l’audace ?
” Nos dirigeants ont-ils foi encore dans l’audace ? ”
Les gouvernants qui sont à la tête du pays ont précisément été mis à cette place par des ” forces étrangères ” pour appliquer une politique contraire aux intérêts de la France et des Français. Ces derniers, qui sont largement manipulés et conditionnés par la désinformation des médias omniprésents , croient encore dans les vertus de la démocratie. Vous pourrez remarquer que, à peu près toutes les lois depuis le départ du Général De Gaulle ont été faites au détriment des Français autochtones.
C’est le veau d’or qui gouverne la France mais aussi d’autres pays européens! on doit chasser ces kabbalistes talmudistes qui utilisent l’islam pour nous détruire !!
Voilà une analyse pour le moins exhaustive de ce qu’on est en train de vivre et de ce qui nous attend ……Du sang et des larmes !…assurément !!
Jean Saunier *** écrit: “Le cosmopolitisme est la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité. L’homme cosmopolite est citoyen du monde, se comporte comme un membre de la communauté mondiale, et non comme un citoyen d’un État”.
Il n’a pas entièrement raison (j’aurais pu écrire “Il a complètement tort” mais je suis plutôt du genre consensuel …) car …
1/ il n’appartient pas au seul cosmopolitisme d’avoir conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, d’être citoyen du monde et de se comporter comme un membre de la communauté mondiale
2/ j’irais même jusqu’à dire que celui qui, au XXI ème, après avoir fait 5 années de primaire, 4 années de collège et 3 années de lycée ET avoir vécu dans une famille éduquée et ouverte, n’a pas les caractéristiques mentales évoquées en 1/ … n’a pas dû beaucoup progresser intellectuellement entre l’âge de 6 ans et l’âge de 18 ans !!
Là où je rejoins à 2000% l’ami Saunier, c’est sur le primat absolu et impératif de la “citoyenneté d’Etat”, d’abord sur la citoyenneté européenne, puis sur la citoyenneté du monde. En résumé, on ne doit jamais oublier d’où l’on vient mais ça n’empêche pas de savoir où l’on va et celui qui penserait qu’il peut, au XXI ème siècle, s’épanouir en restant à l’intérieur des limites de l’Hexagone – que nous chérissons tous – serait un ignare… Car chérir la France – comme sa famille -, connaître et aimer TOUTE son histoire (depuis Capet et pas seulement depuis 1789 !) et faire tout son possible pour lui conserver son indépendance, ses valeurs judéo-chrétiennes, sa liberté d’expression, est bien évidemment l’objectif principal de tout individu se déclarant Français.
(trois textes dont je suis loin de partager toutes les idées mais néanmoins intéressants:
https://www.cairn.info/revue-cahiers-philosophiques1-2012-1-page-71.htm#
https://www.erudit.org/fr/revues/socsoc/2012-v44-n1-socsoc0262/1012139ar.pdf
https://www.scienceshumaines.com/qu-est-ce-que-le-cosmopolitisme_fr_5749.html )
***VPF de la région d’origine de mes ancêtres, tous nés à Pontarlier ou dans le département du Doubs entre le 17 ème siècle et les années 1920 (depuis dissémination sur Lorraine, Paris et Touraine)
Une super classe mondiale a installé la mondialisation. Une oligarchie dominante prône l’idéologie mondialiste et en profite largement. Le mondialisme révèle l’intention d’une unité de l’humanité. Le thème du mondialisme renvoie à la politique, à l’histoire, à la philosophie, à la religion. Aussi, les idéologues essaient de justifier le mondialisme, et le mettent en relation avec le cosmopolitisme. A partir de là, apparaissent ses fonctions: éradication des patries, négation des identités, négation du principe de souveraineté nationale, Dans ce sens, le mondialisme, et donc le cosmopolitisme concourent à l’enlaidissement du monde et à la fabrication d’un homme nouveau standardisé et interchangeable. Dans cette optique, la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, le fait d’être citoyen du monde, et de se comporter comme un membre de la communauté mondiale, peuvent être discutés, critiqués, et désapprouvés.
… il me tarde de sortir ma légendaire Durandal ….
Lorque vous sortirez votre légendaire Durandal, puisse Dieu et vos Anges Gardiens, vous protéger pour qu’elle ne tombe pas entre les mains des sarrasins.
Nous devons nous préparer à la guerre civile. Contre l’islam. Contre le libéralisme. Contre le mondialisme. Pour la liberté de croire ou de ne pas croire. Pour une société organiciste où les riches soient tenus d’être solidaires des autres. Pour le protectionnisme et la justice fiscale et patriotique.La violence légitime est parfois nécessaire et quand l’Etat trahit la Nation, il doit en perdre le monopole au profit du peuple en armes. Ca s’est appelé naguère la Garde Nationale, unie pour la Fête de la Fédération! Aux armes, citoyens!
Une superclasse mondiale a installé la mondialisation.Une oligarchie dominante prône l’idéologie mondialiste et en profite largement.
Le mondialisme révèle l’intention d’une unité de l’humanité, mais à quel prix? Le thème du mondialisme renvoie à la politique, à l’histoire, à la philosophie, à la religion. Aussi, les idéologues essaient de justifier le mondialisme et le mettent en relation avec le cosmopolitisme. A partir de là, apparaissent des fonctions de destruction: éradication de la patrie, négation des identités, négation du principe de souveraineté nationale. En ce sens, le mondialisme, donc le cosmopolitisme concourent à l’enlaidissement du monde et à la fabrication d’un homme nouveau, standardisé et interchangeable. Dans ce contexte, la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, le fait de se sentir citoyen du monde, le comportement comme un membre de la communauté mondiale, peuvent être discutés, critiqués, désapprouvés.
Nous sommes dans un débat sémantique, pas passionnant au moment où la France sombre à cause de l’impéritie de ses gouvernants. Je voulais simplement dire qu’on ne peut pas refuser à un Français, un Bangladais, un Guatémaltèque LE FAIT, impossible à nier, qu’ils sont tous “citoyens du monde”.
Pour reprendre votre dernière phrase:
“la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, le fait de se sentir citoyen du monde, le comportement comme un membre de la communauté mondiale, peuvent être discutés, critiqués, désapprouvés.”,
je la retourne dans tous les sens, et je ne comprends même pas que vous ayez pu l’écrire puisque cette “conscience”, ce “fait”, ce “comportement” sont des données OBJECTIVES: nous sommes tous des citoyens du monde, en plus de notre citoyenneté d’Etat qui reste notre définition PREMIERE.
Mais nous sommes d’accord sur le fond qui est le plus important: toute immigration en provenance de pays à majorité musulmane doit faire l’objet d’un MORATOIRE IMMEDIAT DE 25 ANS MINIMUM, le temps pour nous de remettre du plomb DANS LA TETE (et ailleurs si affinité !) des semblables de ce Tchétchène à la con qui n’avait rien à faire en France.
Je pense que nous serons objectivement et administrativement des citoyens du monde lorsque l’Etat mondial sera installé et imposé, selon la volonté des mondialistes. Le mondialisme étant cosmopolite, il est une suite des cultes du Cosmos. L’implication politique des cultes du Cosmos est le cosmopolitisme, c’est à dire la réunion des particuliers en un Grand Tout. Les initiés à la Franc-maçonnerie le savent, c’est le principe de l’initiation. Et je ne partage pas cette vision de l’humanité qui nous ramène à des pratiques archaïques sataniques. Mais ce n’est qu’une opinion, un point de vue, et non un parti pris.
L’idée de cosmopolitisme est attribuée à Socrate: “Je ne suis ni d’Athènes, ni de Corinthe, je suis citoyen du monde”. Antisthène, Diogène poursuivent dans cette voie. Les cyniques, les stoïciens, les juristes de Rome, conçoivent une société générale du genre humain. Le courant traverse les siècles jusqu’à notre époque. Le XVIIIè Siècle développe les notions de citoyen du monde et d’universalisme. La Franc-Maçonnerie, l’Illuminisme, qui se veut un régime universel dominateur, la Révolution française, participent à cette idéologie. Le terme de cette pensée occidentale favorable au mondialisme est la croyance en la mystique de l’unité de l’humanité. La mystique de l’humanité relève d’une vision proprement gnostique et millénariste, vision pour laquelle il y aurait un sens inéluctable de l’histoire. Nous appartenons à la famille des hommes. Chacun apporte quelque chose de beau et d’unique à la table de l’humanité. Et nous apprécions les caractéristiques physiques et culturelles des autres peuples et nations. Ces différences devraient être préservées pour résister à l’objectif des Illuminati. Nous ne devrions pas permettre aux iIluminati d’usurper ce droit fondamental: profiter du don précieux de la vie.
Le mondialisme étant cosmopolite, il est une suite politique des cultes du Cosmos. L’implication politique de ces cultes du Cosmos
est le cosmopolitisme, c’est à dire la réunion des particuliers en un grand Tout. Les initiés à la Franc-Maçonnerie le savent, c’est le principe même de l’initiation. Cette vision de l’humanité nous ramène à des pratiques archaïques et sataniques. Cette vision de l’humanité fait table rase du passé chrétien, et aussi du passé païen, donc du passé occidental. La survie de notre civilisation commune, l’Occident chrétien, la survie de l’homme sont en jeu. Nous sommes en train de devenir des hommes-esclaves, des marchandises consommables et jetables.
La lumière divine vient d’illuminer mon petit cerveau rabougri, Cher Ami Franc-Comtois:
– pour moi, “citoyen du monde” veut tout simplement dire que, PHYSIQUEMENT; je suis “habitant de la Terre”, “citoyen de notre Planète Terre” et ne s’accompagne pas d’obligations particulières sauf de respecter le territoire et les idées des autres citoyens du monde qui habitent au-delà des frontières de MON pays;
– alors que pour vous, cette qualification de “citoyen du monde” s’accompagne de droits et d’obligations spécifiques à l’égard des citoyens des autres pays de la planète (qui seraient du même niveau, de la même “intensité” que les droits et devoirs que j’ai envers mes propres concitoyens français … Cela serait évidemment du dernier ridicule ET TOTALEMENT IMPENSABLE (sauf à devoir aller immédiatement se faire examiner en hôpital psychiatrique, ce que je conseille à M. Recep ERDOGAN de faire immédiatement !!!)
Je fais partie de la grande famille humaine, plus particulièrement de la civilisation occidentale chrétienne qui se réfère à un Ordre naturel. Cette conception entraîne-t-elle une dépendance vis-à-vis des autres habitants de la planète? Je ne le pense pas. Mais je ne me sens pas citoyen du monde pour ces trois raisons en chaîne. La citoyenneté du monde est le produit du cosmopolitisme. Le cosmopolitisme est à la source du
mondialisme.
Le mondialisme a pour fonctions de détruire la Civilisation, d’éradiquer l’Ordre naturel, on le voit avec les lois sociétales, de réduire l’homme à l’état d’esclavage mental, spirituel, voire physique. Quant au mot citoyen, il suppose une allégeance à un système corrompu. Suis-je idiot et ridicule pour avoir une telle pensée? Devra-t-on m’envoyer en hôpital psychiatrique? Comme aux bons vieux temps de l’URSS? Tout le laisse présager dans la France d’aujourd’hui. Je ne répondrai plus. Et je ne suis qu’une humble personne, dépourvue de toute lumière. En toute cordialité.
Selon le cosmopolitisme, l’homme est citoyen (celui qui prend ses responsabilités) partout ; “rien d’humain ne lui est étranger”
A priori il n’y a a pas antinomie entre cosmopolitisme et nation
Le cosmopolitisme présume l’universalité c’est à dire l’application des droits de l’homme et la philosophie de la raison ; et là est le problème : il n’existe pas que les droits de l’homme à l’occidentale mais les droits de l’homme à l’islamique, à la chinoise, à la russe (voir le livre de chantal Delsol : le crépuscule de l’universel)
Quant à la raison, elle est difficile à mettre en oeuvre : Freud disait que les passions instinctives primaient sur les intérêts rationnels
Il ne fallait pas les laisser entrer
Et ils regardent les télés étrangères toujours en guerre contre la FRANCE
Qu’en espérer ?