L’agitation médiatico-juridique bat son plein autour de la condamnation à mort, prononcée par le tribunal antiterroriste de Bagdad, à l’encontre de 9 «Français » appartenant au groupe Etat islamique.
Sébastien Chenu a résumé le fond de la pensée de l’immense majorité de nos concitoyens à l’égard de ces condamnés en indiquant avec une remarquable économie de mots : « j’en ai rien à foutre des djihadistes français condamnés à mort en Irak ». Abrupt mais efficace et traduisant parfaitement l’état d’esprit d’une opinion publique qui n’en peut plus de subir sur son sol des attentats islamistes et de devoir, de surcroît, supporter le rappel permanent de l’existence de ces barbares.
La seule réserve à émettre donc sur cet avis lapidaire de Sébastien Chenu tient à la juxtaposition des termes « djihadistes » et « français » qui peut heurter quelques sensibilités et surtout permettre un débat qui ne devrait avoir lieu.
Malgré le désintérêt légitime pour le sort des condamnés à mort manifesté par 90 % des sondés, l’État français « s’active au plus haut niveau » pour faire commuer la peine de mort en incarcération à vie dans le cadre de négociations diplomatiques dont on ne saura jamais, si elles aboutissent, ce qu’elles nous auront coûté financièrement et politiquement.
Les associations du Camp du bien s’activent également. Les Droits de l’Homme sont entrés en scène aux côtés de l’État de droit. A ceux qui estiment qu’il serait moral, face à la barbarie, d’abandonner les barbares au sort qu’ils ont librement choisi, rappelons que les choix politiques successifs de nos dirigeants ont, malheureusement autant que méthodiquement, enfermé la France dans les rets quasi irréversibles des « Droits de l’Homme » depuis l’ère Mitterrand.
Le 9 octobre 1981 la peine de mort était abolie par une loi. Il fallait ensuite lier la France par des verrous successifs et étendre l’abolition aux temps de guerre, quelle que soit l’horreur des exactions commises. Ce fut chose faite par la ratification des protocoles additionnels n° 6 et 13 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, la modification de la constitution par l’ajout d’un article 66-1 et la ratification du pacte de New York de 1989.
Ainsi, alors qu’en 2015, l’opinion publique, rattrapée par la réalité, se déclarait favorable à l’abandon de l’abolition (sondage Ipsos avril 2015 52% favorables), le retour en arrière s’avèrerait très difficile voire impossible, sauf à sortir des traités internationaux et de l’UE si intransigeante sur «ses valeurs ». Les pays (les USA n’en font pas partie, non plus que la Chine, l’Iraq, l’Arabie Saoudite etc.) qui ont eu la faiblesse, l’imprévoyance ou la soumission de se lier à des règles internationales en se privant des moyens de lutter à armes égales avec les barbares ont fait clairement le choix de faire supporter à leurs propres populations les pires massacres sans pouvoir éliminer définitivement leurs auteurs.
Par ailleurs l’exemplarité de la peine et son potentiel caractère dissuasif est sortie de la strate de réflexion de nos décideurs politiques.
Ils ne sont pas davantage concernés par la notion de « réparation » incluse dans les peines et ont ainsi exacerbé le sentiment, qui se généralise, d’une inégalité flagrante entre le traitement protecteur accordé aux barbares et celui accordé aux victimes et à l’ensemble de la société.
Au-delà du territoire français, ils refusent avec un cynisme éhonté, d’envisager que des populations d’Iraq ou de Syrie, ayant subi les atrocités de Daech, puissent juger inconcevable que la France, pourvoyeuse de tortionnaires, ait en outre l’outrecuidance, au nom de ses propres lois, de vouloir adoucir la peine prononcée.
De façon générale, il est de plus en plus criant que les droits de l’homme deviennent paradoxalement un outil de protection de leurs pires ennemis, lesquels excellent à utiliser tous leurs ressorts. Les victimes, quant à elles, sont le plus généralement traitées comme des faits divers dont on tait volontairement les souffrances pour ne pas créer d’amalgames ou éviter de devoir exercer une juste sévérité à l’encontre des délinquants, criminels et barbares.
De là naît une lancinante interrogation : quel est le but recherché par l’utilisation de ces droits de l’homme ?
Si la volonté première a pu être de favoriser une évolution de notre société vers davantage d’humanité et de tolérance, on voit aujourd’hui que l’effet social inverse se produit et que la barbarisation se répand. Or, ce constat visible de tous, loin de remettre en cause la politique de «droits de l’homme », la voit se renforcer.
Le but serait-il donc moins avouable que celui avancé par les tenants de cette prolifération humaniste ?
Des éléments de réponse se trouvent dans l’évolution « progressiste » imposée à notre société, buts et moyens confondus : libéralisme marchand, baisse des niveaux de vie, de la qualité et du nombre des services publics, recherche d’une relève consumériste et maintien d’un système capitaliste exsangue s’accompagnant d’une immigration non contenue voire recherchée et de droits de l’homme généreusement attribués aux populations migrantes et à leurs descendants.
Les promoteurs de cette évolution manient l’ingénierie sociale avec une efficacité redoutable jusqu’à présent, arrivant à imposer aux foules, victimes de leurs décisions la tyrannie de l’inacceptable : les attentats inévitables, l’immigration que rien ne peut stopper , les charges financières et sociales de ces dérives, l’existence de zones de non droit dans lesquelles prolifèrent insécurité et délinquance , les restrictions de liberté , la coexistence avec d’autres cultures déclarées de valeur égale et point d’orgue de notre totale déculturation, « LE DJIHADISTE FRANÇAIS » devenu composante de notre population
Dès lors, nos gouvernants s’empressent de défendre cette nouvelle composante irréductible de notre nouveau monde pour donner, à moindre frais, l’illusion d’un état de droit dont ils se gargarisent. Ils y gagneront l’estime des progressistes et de quelques avocats signataires de tribunes et ardents défenseurs des droits de l’homme dans ses pires dévoiements.
Les droits de l’homme seront saufs et redorés après les mutilations et arrestations arbitraires des six derniers mois infligées à une catégorie qui est dans la mauvaise case de l’ingénierie sociale.
Entre de mauvaises mains, les droits de l’homme sont un outil et une arme redoutable utilisés de façon convergente par gouvernants et criminels pour asservir et non libérer les peuples.
Il est grave qu’ils soient utilisés au profit de barbares qui se sont volontairement placés en marge de l’humanité et de toute appartenance à une communauté nationale, hors celle de l’Etat Islamique qu’ils ont voulu contribuer à créer par la terreur et le sang.
Julie Gé
Comments: 20
Ayez le courage de désigner les vrais coupables de cette situation… Pour ma part, par prudence, je me contenterais de rappeler les propos-écrits de Michel Barat, professeur de philosophie, ancien Grand Maître de la Grande Loge de France :
… La philosophie des droits de l’homme animait la Franc-Maçonnerie au XVIII° siècle…
(Aujourd’hui) La Grande Loge de France est entièrement et intimement attachée aux droits de l’homme…
Les différentes obédiences de la Franc-Maçonnerie ont montré, avec la Révolution Française, et depuis lors en toutes occasions, qu’il y a loin entre les fameux “Droits de l’Homme” et les différentes interprétations qu’elles en font selon les circonstances.Il y a bien longtemps qu’elles ont été pénétrées par le B’naï B’rith et le Frankisme le plus luciférien, à des degrés divers, et que les buts réels quelles poursuivent n’ont rien à voir avec le Bien Commun recherché pour l’Humanité au sens le plus général, celui de tous les peuples et de toutes les confessions religieuses.Elles sont aux ordres et poursuivent le Grand Dessein de ” La Secte” qu’il est désormais interdit de nommer, sans doute à juste raison, puisque les buts qu’elle poursuit sont “innommables”…
Les droits, les droits, que des droits… et si on parlait un peu des DEVOIRS?
Bravo! Bien pensé, bien dit! et rappel intelligent de la barbarie gouvernementale à l’encontre d’une certaine catégorie de français “damnés”… ceci dit, pas d’illusion à se faire: ce n’est pas parce que 90% de français manifestent leur opposition que ce gouvt,, qui a l’habitude de ne tenir aucun compte des voix du peuple, changera leur décision finale péremptoire, dogmatique
et idéologique…
bravo pour votre article, rien à ajouter…
A mon avis , aucune pitié , l’Irak est seule juge pour punir comme il se doit ces assassins djihadistes qui ont renier la France en partant faire la guerre dans ce pays , l’Irak les ont condamnés à mort , et la France n’à rien à dire ou faire pour amenuiser leur peine !Par contre leur famille ( étant complices , doivent toutes être expulser et rembourser toutes les aides sociales reçues pendant qu’ils tuer en Irak )
Ce sont des blocs de haine qui n’ont qu’une pensée détruire un maximum de personnes par n’importe quels moyens je ne vois pas pourquoi on devrait s’attendrir sur leur sort quoiqu’il leur arrive ils l’ont cherché !
Bonjour,
Pourquoi rapatrier ces personnes en France? Vu qu’elles ont choisi de se battre pour un autre “état” que le notre… Au nom des droits de l’homme??? De quel droit ont-ils tué au nom d’un livre!!! Car le coran et la bible, désolé pour ceux que cela vexe ne restent qu’un livre!!!!
Que ces personnes allent jusqu’au bout de leur conviction et meurent en ce qu’elles croient!!! Mais pas à nos frais!!
Vive la FRANCE et vive le vrai peuple Français !
Ces gens ont fait un choix qu’ils assument.
Pas de quartiers surtout pour des individus qui ne rêvent que de nous détruire.
Qui paient les Coûts d’un prisonnier dans les geôles qui s’élevent à 3000 €/mois ?
Catherine G.S.
Je pense qu’il faut bien comprendre l’état de délabrement pervers de la santé morale d’un certain nombre de nos dirigeants. J’étais tombé il y a quelques mois, en pianotant sur Gogol, sur des sites épouvantables de propagande de l’Etat islamique; ce que j’y ai vu m’a fait “gerber”, comme on dit vulgairement et dépassait même de très loin ce que j’ai pu voir des horreurs nazies, à telle enseigne que je n’aurais même pas osé le décrire (et j’ai bien fait, comme on le verra par la suite…). J’ai pris ma plus belle plume pour dénoncer auprès de quelques personnalités politiques, dont mon député, copier-coller à l’appui des liens en accès directs, ce sur quoi pouvait tomber un enfant ou un adolescent puisqu’il n’y avait aucun filtre, ni même aucun floutage des personnages en se baladant sur son moteur de recherche favori ET DEMANDER QUE CES SITES SOIENT PUREMENT ET SIMPLEMENT RETIRES A TOUTE VISUALISATION…
Que pensez-vous qu’il advint ? Non seulement je n’ai reçu aucune réponse mais toutes ces vidéos étaient toujours accessibles quelques mois après, d’où cette expression de ma colère :
ALERTE ROUGE A L’HYPOCRISIE AMBIANTE DE NOTRE SOCIETE
Pire les seuls courageux responsables politiques, qui ont essayé de dénoncer ces ignominies, preuves à l’appui, se retrouvent assignés devant les tribunaux correctionnels pour “propagande islamiste” : UN COMBLE TOTALEMENT ECOEURANT !
Il n’y a rien à attendre de bien de “collabos” patentés…
C’EST HALLUCINANT d’ASSISTER à CELA :
Marine Le Pen renvoyée en correctionnelle pour… avoir tweeté!
Revenons sur le déroulement de cette histoire ahurissante. En décembre 2015, Jean-Jacques Bourdin interrogeant Gilles Kepel, avait trouvé astucieux d’établir un lien d’équivalence entre le FN et Daesh. Fous de rage devant l’insulte, Marine Le Pen et Gilbert Collard avaient surréagi et publié sur leurs comptes Twitter des photos d’atrocités de djihadistes accompagnées du commentaire « Daesh c’est ça ! », avant de les retirer.
Marine Le Pen a tweeté trop vite
Aubaine pour tous ceux qui s’en remettent à la police pour combattre le RN, quand c’est en fait les politiques qu’ils soutiennent qui le font monter ! Le parquet de Nanterre a été saisi de l’horrible crime, et a naturellement demandé et obtenu l’ouverture d’une information judiciaire pour délit « de diffusion message violent susceptible d’être vu ou perçu par un mineur », prévus à l’article 227-24 du Code pénal.
MAIS POURQUOI, ALORS QUE JE LE DEMANDAS OFFICIELLEMENT DES MOIS AVANT, CES “MESSAGES VIOLENTS SUSCEPTIBLES D’ÊTRE VUS OU PERCUS PAR UN MINEUR” N’ONT-ILS PAS ETE SUPPRIMES ET LEURS AUTEURS (OU RELAYEURS) N’ONT-ILS PAS ETE TRAÎNES EN JUSTICE, SUR LA BASE DE L’ARTICLE DU CODE PENAL, JUSTEMENT CITE 227-24 du CODE PENAL ?
IL Y A LA MATIERE A SAISIR LE DEFENSEUR DES DROITS POUR DISCRIMINATION DEVANT LA LOI… VOLONTAIRES POUR LA FRANCE LE FERA-T-IL ?T
Je ferais bien mienne, Madame, la déclaration de Sébastien Chenu, à ceci près, effectivement, que,
ayant opté pour l’appartenance à l'”oumma”, lesdits djihadistes ont renoncé à être français.
Le gouvernement n’a donc pas à rapatrier ses ennemis déclarés. Alors q’il les fait combattre par nos
militaires.
A moins qu’il ne soit pas dans son bon sens.
A moins qu’il ne se désintéresse du sort de la population française, au sein de laquelle il dissémine
— chacun en est conscient— des mosquées innombrables ( ce qui correspondrait à “une demande”).
Incarcérer en France les barbares revenants, reviendrait à leur donner toutes les chances d’être
libérés d’autant plus vite , que les surveillants, débordés, seraient bien incapables de les empêcher
d’engager leurs co-détenus à “se radicaliser”.
Etendre l’ abolition de la peine de mort “aux temps de guerre” m’apparaît criminel: l’on accepte de
livrer la population , complètement désarmée, aux égorgeurs de l’islam: ne sommes-nous pas des
mécréants à abattre?
L’Institut pour la Justice épingle, sans faiblir, l’inversion des valeurs qui sévit, depuis les années
Mitterrand.
Enfin, le SNU ( Service National Universel), “pensé”, si je ne me trompe, par le gouvernement
Hollande, vient de se mettre en place.
Rappelons qu’il devait concerner environ 800000 jeunes , chaque année.
Le but était de brasser des populations de toutes origines, et de réussir là où l’Education
Nationale a lamentablement échoué.
L’institution militaire avait été sollicitée.
Le moins que l’on puisse dire est qu’elle ne s’est pas précipitée pour avaliser le projet.
Un flash info de Radio classique annonçait, il y a quatre jours:
” SNU : “Ouverture sur le développement durable (??). Expérience, dans douze départements,
pour des “jeunes” de 15 à 16 ans: visites de sites ( lesquels? Disneyland? Satory?…);
sensibilisation aux valeurs de la République. 2000 “jeunes ” sont concernés”.
C’est mesquin.
Une pénible impression de bricolage, d’improvisation ressort de ce laborieux projet.
Qui sont les cadres?
Qui sont les heureux bénéficiaires de ce SNU ?
Quel ministère finance lesdites “visites”? Le ministère de la culture? de la Justice? des Armées?
Tous, conjointement?
L’Autorité ne règne plus à l’école; nous sommes pratiquement les bons derniers, en Europe,dans ce domaine ! La faute à qui ? Aux parents qui, au mieux ont abandonné leur rôle d’éducateurs, au pire à une poussée de haine contre notre civilisation. Mais évidemment il est infiniment politiquement incorrect de poser les termes du problème comme cela…
Assez de polémique sur sur cette engeance: Chacun est libre de ses actes et de son destin et doit en assumer les conséquences: ces “djihadistes” ont commis impitoyablement des atrocités contre des populations civiles innocentes , si ils faisaient partie d’une armée régulière ce seraient des criminels de guerre que l’on fusille ou que l’on pend. Appartenant aux bandes de renégats avides de puissance et de butin, dans la tradition de leur prophète, ce ne sont que des assassins ordinaires qui doivent être jugé par leurs victimes, selon les loi du pays où ils ont commis leurs exactions meurtrières. L’appartenance à l’oumma entraine le rejet de toute nationalité au profit de l’Islam, ces individus ont rejeté définitivement la France: Si nos gouvernant ont un soupçon d’intelligence et de rigueur morale il doit laisser tous ceux qui ont renié la Patrie pour l’Oumma subir le destin qu’il ont choisi en toute connaissance de cause. “Celui qui fait périr par l’épée, périra par l’épée” celui qui donne la mortt doit s’attendre à la réciproque
Fort bien, mais quels sorts réservez-vous à ceux qui essaient, en félons qu’ils sont, de contourner ces principes de base ?
“Si nos gouvernant ont un soupçon d’intelligence et de rigueur morale…”
Si nos gouvernants avaient intelligence et rigueur morale et si, de surcroît, ils se souciaient de la France et des Français, cet échange de commentaires n’aurait pas lieu. Les barbares capturés seraient jugés et exécutés. Point.
Nos pires ennemis sont nos dirigeants, qui ont pris le parti de protéger les barbares au détriment de la population française et au mépris des souffrances et supplices infligés aux victimes, tant sur notre sol qu’à l’étranger.
J’espère que viendra bientôt le jour où ces dirigeants ennemis du peuple auront à répondre de leurs actes.
S ma mémoire est bonne il existe dans le code pénal les délits de complicité,( qui encourent la même peine que l’exécutant) et d’association de malfaiteurs. Dans notre pays, il est encore interdit de tuer (heureusement) et les imbéciles qui défendent les barbares criminels les encouragent aux crimes: cela tombe sous le coup de la loi, encore faut-il qu’il y ait des plaintes, et des juges indépendants de du politiquement correct…!
Les ” Droitdelhommistes ” sont aux droits de l’Homme ce que les pacifistes sont à la paix. Les droits de l’Homme naissent des devoirs de l’Homme, les uns équilibrant naturellement les autres. Aujourd’hui ce n’est plus le cas : l’idéologie extrême gauchiste a complètement effacé les devoirs de ceux à qui l’on donne des droits auxquels ils ne peuvent normalement prétendre. En effet, ces droits sont inhérents à notre Nation dont ils ne font pas partie. Ceux qui ont abandonné la Nation pour aller commettre l’indicible aux côtés des tortionnaires mahométans ont abandonné en même temps toute prétention à bénéficier des droits liés à la qualité de FRANÇAIS. N’en déplaise aux gauchistes
Nos politiques nous amènent directement à l’abattoir! Ce sont eux qui laissent faire ce genre d’horreur! Je suis sidérée de voir que Maître Collard et Marine Le Pen sont trainés devant les tribunaux! Les personnes ayant les yeux grands ouverts sur ce qui se passe ne sont pas dupes! Mais les autres, les collabos, les complices, quoi penser de ceux là? DES TRAITRES.